L'article critique les discours alarmistes des climatologues sur la fonte des glaces mondiales. Il souligne que les glaciers alpins sont plus étendus qu'à d'autres périodes historiques et que les inquiétudes se concentrent sur la glace des pôles.
Paradoxalement, la banquise antarctique a récemment augmenté, ce que les "réchauffistes" expliquent par l'accumulation de neige due au réchauffement. Une étude récente révèle que l'Inlandsis Ouest-Antarctique était beaucoup plus petit il y a 10.000 ans, malgré des températures plus basses qu'aujourd'hui, contredisant l'idée que la fonte actuelle est due à l'activité humaine.
L'étude, publiée dans *Nature*, montre que cet inlandsis mesurait alors 215.000 km² de moins qu'actuellement. Les scientifiques étaient surpris, ce qui remet en question le mythe du réchauffement climatique d'origine humaine. National Geographic, tout en reconnaissant ces faits, met en avant la fragilité de la couche de glace et ses implications pour le futur.
En analysant les forages de 2013 qui ont révélé un lac avec des diatomées sous la glace, l'article confirme la fonte historique et la reformation ultérieure de la glace. Malgré cela, National Geographic reste focalisé sur les risques futurs, notamment l'augmentation du niveau de la mer, tout en soulignant la sensibilité de l'inlandsis aux changements climatiques.
L'article conclut en critiquant la rhétorique persistante des climatologues alarmistes, qui, malgré des preuves contraires, continuent d'attribuer la fonte des glaces aux activités humaines et aux émissions de CO2.
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