Alors que le Commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, s'apprête à occuper un poste de conseiller lucratif auprès de Bank of America, la deuxième plus grande banque des États-Unis.
« Il s'est souvent présenté comme un champion de la souveraineté européenne, notamment dans ses efforts pour défier la domination des géants technologiques américains tels que X d'Elon Musk. Cependant, beaucoup d'entre nous soupçonnaient que sa rhétorique avait moins à voir avec la défense de l'autonomie de l'Europe qu'avec un désir de contrôler le récit en ligne. Cela était évident dans la mise en œuvre du Digital Services Act (DSA), un outil qui accorde effectivement aux élites de l'UE le pouvoir de dicter ce que des centaines de millions d'Européens peuvent ou ne peuvent pas dire et lire en ligne sous prétexte de lutter contre la désinformation. » écrit Thomas Fazi.
Breton suit les traces de Barroso, qui est passé chez Goldman Sachs avant de diriger le GAVI, ou de Kristalina Georgieva, qui a rejoint le FMI. La porte tournante est bien huilée. Bruxelles est entre les mains puissantes des grandes entreprises mondiales.
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